• Voici un sympathique site qui vend des objets funs et qui fera frétiller d'envie les plus geek d'entre nous.
    Bien sûr, les autres ne sont pas oublié, et certains objets vous feront rire ou béer de surprise...

    Porte-clef papier bulle pour ceux qui aiment faire péter les petites bulles, stickers space invader ou super mario, trébuchet et catapulte de bureau pour s'amuser au boulot, soleil en bocal, horloge binaire... C'est insolite, parfois utile, mais toujours fascinant ! On trouve également une grande variété de t-shirt bien sympa. De plus, les commentaires accompagnant chaque article sont souvent très drôles, ce qui ne gâche rien ^^

    Bytelove soutient en outre l'action de Pirate Bay.

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  •  Inconsolable depuis la mort de sa mère, David, 12 ans, se réfugie dans les livres pour fuir le remariage de son père et se consoler de la naissance de Georgie, son demi-frère. Un jour, il découvre un trou caché derrière des buissons, au fond du jardin, et se retrouve propulsé dans un univers parallèle, un monde étrange et hostile peuplé de trolls, de sires loups, de créatures hybrides, mi-hommes mi-animaux, et d’autres personnages issus de ses lectures et de son imaginaire… Grâce à l’aide du Garde-Forestier et de Roland, un preux chevalier, il va, après bien des épreuves – combats, énigmes à résoudre… – rencontrer un vieux roi qui conserve ses secrets dans un volume mystérieux, ‘Le Livre des choses perdues‘. Ce dernier, conseillé par l’Homme Biscornu, être maléfique qui suit David depuis son arrivée, lui propose un pacte : la vie de son demi-frère contre son royaume. David trahira-t-il Georgie ?

     

    Le livre des choses perdues / John Connolly

     




    Récit initiatique intense, qui parle de deuils, de la perte de l'enfance et de la cruauté des mondes imaginaires. Le cadenas de l'histoire est assez classique - un  jeune garçon effectuant une quête, secondé par des alliés et traqué par des méchants - mais toute l'originalité de ce livre tient en plusieurs points.
    Tout d'abord, le style d'écriture ; l'auteur dépeint un monde terrifiant, où l'on devine une sombre menace dans le moindre brin d'herbe rencontré. L'ambiance est sombre, très sombre même ! Le jeune David rencontre en effet des créatures toutes plus féroces les unes que les autres - les Sires Loups, l'espèce d'immonde chenille qui s'attaque à un village entier, et surtout la chasseresse qui bricole des hybrides mi-enfants mi-animaux pour mieux les tuer ensuite. Rien de gratuit, par de raccourcis faciles : chaque victoire se paye par la perte de quelqu'un ou de quelque chose. Une cruauté pourtant nécessaire, puisqu'elle aide David à mûrir, à affronter les dangers qui se présentent à lui, et à prendre conscience de plusieurs choses - l'amour familiale, les liens de fraternité...
    Je suis restée fascinée par les nombreuses mises en abîme que contient le texte - toutes  les histoires que content le Garde Forrestier, ou la tragique histoire de Roland, et celle beaucoup plus horrible de l'Homme Biscornu. Elles s'intègrent parfaitement au texte originel, et ajoutent une dimension encore plus fantasmagorique à l'ensemble.

    L'auteur revisite les contes de notre enfance en jouant sur les peurs ancestrales ainsi que sur la cruauté sous-jacente à chaque contes. Chaque personnage est fouillé, et leur histoire cohérente. On devine plus qu'on ne sait leur tragédie personnelle - la perte du Garde Forrestier, la relation entre Roland et son ami perdu... - et cela participe aussi à la force de ce récit.

    Un livre magnifique et terrifiant que l'on referme à regret.



    Le livre des choses perdues
    John Connolly
    Editions l'Archipel
    18,50 €

     

     


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  • Babylone, 565 av. J.-C. Sarban est un membre estimé de l'Ordre des accusateurs, les juges qui veillent au respect de la loi dans la cité. L'équilibre précaire qui règne entre les humains et les dieux s'effondre brutalement. Les dieux sont fatigués et la déesse du chaos risque de reprendre son pouvoir. Les prêtres annoncent la suspension du temps et des lois. Babylone sombre dans la folie et dans le sang sans que les juges aient le droit d'intervenir. Mais Sarban découvre un crime sans lien avec les exactions commises dans la fureur ambiante, un mystère qui met en péril jusqu'à l'existence même de Babylone. Et celui de sa propre famille.

     

    Car je suis légion / Xavier Mauméjean

     

    Sous couvert de suivre une enquête policière, l'auteur nous entraîne à sa suite dans l'univers de Babylone, sa faune et toutes les croyances qui y sont attachées. Roman fascinant, qui nous montre tout un peuple en proie au chaos, délaissé par ses dieux.
    C'est un tout autre univers que ceux auxquels nous sommes habitués, avec d'autres modes de penser et d'agir. On en apprends beaucoup sur la civilisation babylonienne, et on a l'impression de vivre à leurs côtés.
    Le rythme de l'histoire est haletant, pas de temps mort, une vraie course contre la montre !
    J'ai beaucoup aimé de personnage de Sarban, qui malgré le chaos qui l'entoure, croit encore en l'idée de la justice, et fait tout pour l'appliquer.

    Un roman qui vous tiendra en haleine jusqu'à la dernière page !

    Car je suis légion
    Xavier Mauméjean
    Pocket
    7,80€

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  • Voici un petit jeu sympa et qui rend immédiatement addict : Line Rider !

    Le principe est simple : il faut créer un parcours afin que le petit personnage puisse faire de la luge. Ça a l'air hyper simple comme ça, mais en fait nombreuses sont les fois où le petit bonhomme se casse la figure de sa luge et fini par terre...

    Je vous conseille de jeter un coup d'oeil aux vidéos présentes sur le site : elles sont épatantes !

    Voici un jeu qui va vous faire passer de nombreuses heures d'insomnies ^^

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  • Ah la cantine !... Sa bouffe insipide, ses "dames de cantine" gentilles ou acariâtres, son brouhaha continu... Et les jeux divers qu'on inventait pour passer le temps... Qui ne se souvient pas d'avoir lancé à la cantonade "Et toi, t'as quel âge dans ton verre ?" et tout le monde de plonger sur son verre pour regarder dans le fond et instruire ses petits camarades du nombre indiqué.

    duralex



    Verres communs et anonymes, mais qui ont pourtant une histoire. C'est l'entreprise  Saint Gobain qui crée en 1946 le verre Gigogne Duralex, apprécié pour sa solidité (presque) à toute épreuve. La preuve en image (ça devient un peu chiant à la longue, mais ça donne une bonne idée de la solidité de ces produits) :



    Pour la petite anecdote - et désolée de casser un tel mythe - les numéros inscrits au fond des verres correspondent aux moules dans lesquels ils sont fabriqués. A savoir qu'il n'y a que 48 moules ; nous n'aurons donc jamais 70 ou 52 ans ^^

    Enfin, il faut savoir que depuis 2008, la marque est en liquidation judiciaire mais a été rachetée. Espérons que le mythe Duralex durera encore longtemps...

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