• Une amie m'a fait découvrir aujourd'hui un artiste que je ne connaissais pas encore ; j'ai immédiatement été séduite par son trait, à la fois sombre et plein de fantasy, un soucis du détail assez... percutant.
    Jeffray Thomas est américain, il est bourré de talents et... et c'est tout ce que je peux dire sur lui, mon anglais étant tellement naze que je suis incapable de comprendre ce qu'il écrit dans sa bio - honte sur moi.

    Il a fait une série sur les princesses disney - une vision toute personnelle et qui me plaît beaucoup !


    raiponce thomas

    tiana

    kidakash

    megara

    alice

    mulan

    nala

    jane

    pocahontas

    la belle aux bois dormant

    cendrillon

    jasmine thomas

    blanche neige

    ariel

    belle

    Alors, John Smith, encore envie de regarder sous le pagne de Pocahontas ?...

    Pour le reste du travail de Jeffrey Thomas, vous pouvez aller vois son site ou sa page devianart.


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  • The Witcher est la meilleure surprise de ces dernières années en matière de jeu de rôle sur PC. Il propose une aventure scénarisée et linéaire dans l’univers de dark fantasy réaliste et adulte de l’écrivain Andrzej Sapkowski, où les villes sales et malfamées grouillent de mendiants, de pestiférés, de prostituées, de marchands vénaux, de gardes corrompus et de prêtres fanatiques, sans parler du racisme ambiant envers les races non-humaines.
    Vous y incarnez Géralt de Riv le sorceleur, spécialisé dans l'éradication des créatures surnaturelles maléfiques (et accessoirement dans la défloration de jeunes femmes fraîches). Doté d'une évolution de personnage intéressante et d'un système de combat dynamique, The Witcher brille surtout par son scénario – un bijou d'écriture – et par son ambiance incomparable, propice à l'immersion. Sans compter que tout au long de votre aventure, vous devez effectuer des choix dont vous ne mesurerez les conséquences qu'à long terme. Un très, très grand jeu de rôle.
    (Sources : jeuxvideo.com)


    the witcher



    Après avoir passé des heures devant Fable et Oblivion, je me suis retrouvée à cours de jeu. C'est là que mon barbare m'a mise devant The Witcher.

    Première impression devant le prologue du jeu - qui sert de didactitiel - "j'aime pas". Le style de combat, le visuel... Non j'accroche pas et je repousse mon clavier.
    "Joue, m'intime mon compagnon, passe le prologue, et je te promets que tu vas adorer" Mouich... En même temps, il me connaît bien, normalement il ne se plante pas - normalement...

    Et maintenant que j'ai fini ce jeu, je suis bien obligée de reconnaître qu'il a raison : j'ai adoré et Geralt de Riv est devenu mon nouveau fantasme.

    Le gros point fort de The Witcher est le scénario. Certe, on est limité sur la carte - pas comme dans Oblivion où on peut vraiment aller n'importe où - et il y a peu de quêtes annexes, mais ceci s'explique par la densité de l'histoire et la complexité de l'intrigue.
    Geralt devra souvent faire des choix dont on ne voit les effets que sur le long terme. Ainsi, cette personne que vous avez décidé d'épargner et qui revient plus tard dans le jeu, ou certains dialogues qu'on vous re-balance à la figure quand on s'y attend le moins... Alors, en votre âme et conscience, choisissez, et surtout choisissez bien...

    L'ambiance qui règne dans le jeu est également prenante ; des rues mal famées, des humains tous plus pourris les uns que les autres, et le racisme qui grandit envers les nons-humains - qui ne sont pas non plus des enfants de coeur... Le jeu étant classé 18+, il n'y a aucune censure dans les dialogues,  la violence est omniprésente, et il est fréquent de voir Geralt trousser quelques jeunes filles peu farouches sur une meule de foin ou au coin d'une ruelle...
    Les différents compagnons que le Sorceleur croise sur sa route sont fouillés et attachants - Triss la magicienne hautaine, Jaskier le troubadour insolent, et tant d'autres...



    the witcher geralt




    Un jeu sombre et immersif, porté par de superbes musiques, au scénario fouillé, dont on aimerait qu'il ne se finisse pas... Et encore une fois : accrochez-vous pendant le prologue, il ne reflète en rien tout le reste du jeu.
    Mhm... Allez, une petite vidéo pour vous convaincre !



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  • Paris, 1789. C'est la Révolution. Dur dur d'être un bourreau, car on ne chôme pas en ce temps-là !
    Alors pour rigoler, entre bourreaux, c'est à celui qui fera tomber les têtes les plus couronnées : Marie-Antoinette, Louis XVI... Mais gare à ceux qui ne décapitent que des nobliaux de bas étage ou de simples gardes, ils seront la risée de leurs collègues, et leur honneur en prendra un sacré coup...
    Alors, gardez la tête froide et rusez, votre statut de meilleur bourreau de Paris en dépend !


    guillotine

    Un jeu qui allie humour noir et bonne humeur, je ne pouvais qu'aimer ! A deux ou plus, on ne s'ennuie pas, et tous les moyens sont bons pour mettre des bâtons dans les pattes de nos collègues, et récupérer sous leur nez les plus prestigieux nobles qui patientent dans la file d'exécution !
    Les coups bas à faire sont légion, et il ne se passe pas une partie sans qu'un des joueurs ne s'exclame "Quoi ?? Mais tu es un vrai salaud ! Pourquoi tu me fais ça ??" Selon les cartes que l'on a en main, les parties peuvent être très rapides ou au contraire durer une bonne petite heure.

    Un jeu convivial, aux règles simples, et qui permet de passer d'excellentes soirées entre amis ; ruez-vous dessus, on le trouve dans toutes bonnes boutiques de jeux...


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  • Un peu de de pub ne fait pas de mal, surtout quand c'est le blog de ma soeur, et surtout quand les créations qu'elle présente déchirent tellement que moi ça me laisse sans voix - et pourtant je suis plutôt exigeante.


    Mosaline, qu'est ce que c'est ?

    C'est un blog de créations de mosaïques, aux formes et aux couleurs variées ; il y en a pour tous les goûts ! Du miroir au plateau-repas, en passant par des tableaux... La seule limite est l'imagination - mais ça, ma frangine en a à revendre.


    De la mosaïque ? Je ne connais pas trop...

    Alors là, je laisse la parole à ma soeur :

    L'art de la mosaïque a une longue histoire.

    Ce sont d'abord les grecs qui ont élaborés la technique d'assemblage de fragments de pierre, de céramique et de verre pour créer des tableaux.

    Ils ont transmis leur savoir-faire aux rmains qui ont laissé plusieurs centaine de preuves de leur talent dans de nombreux vestiges que l'on peut encore admirer aujourd'hui.

    Vinrent ensuite l'époque de la mosaïque plus raffinée, notamment celles de Ravenne, en Italie.

    Tombée un peu dans l'oubli pendant plusieurs siècles, un regain d'intêret pour cet art nait au XXème siècle avec des oeuvres plus colorées, melant à la fois la mosaïque traditionnelle et des concepts plus originaux, avec des mélanges de matières et de couleur aussi surpenants que variés...

    Mais la mosaïque est avant tout un mode d'expression artisitique accessible à tous.

    Pas besoin d'être un dessinateur professionnel ou d'avoir un don particulier. C'est ça qui m'a plu avant tout.

    Il suffit d'apprendre la technique de découpe des tesselles, d'un peu de patience et de laisser libre court à sa créativité...

    Voir son oeuvre prendre forme peu à peu, fragment après fragment, c'est une source de joie et de relaxation immenses !!!


    Mais ça fait pas un peu grand-mère ?

    Pas du tout ! (wow, avec de tels arguments, je devrais vraiment me lancer dans la pub...)
    Il y a vraiment de quoi satisfaire tous les goûts.


    miroir mosaique


    vide poche mosaique

    Ca, ce sont les deux créations que ma soeur m'a offert, en prenant en compte mes goûts, mon intérieur, ma personnalité (instant émotion, s'il vous plaît)

    Ce sont des objets qui, outre leur valeur sentimentale, me plaisent énormément, et que j'ai beaucoup de fierté à exposer chez moi.


    Bon, et les autres créations ?

    Ca se passe par là, et peut-être que cela vous donnera envie de lui commander une pièce, ou de commencer vous aussi la mosaïque...


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  • Oh ! Regarde cette photo. La jolie petite fille c'est moi. Ta maman.


    Maman était petite avant d'être grande / Valérie Larrondo & Claudine Desmarteau




    Une maman explique à son enfant combien elle était sage quand elle avait son âge. Maman ne disait jamais de gros mots, Maman finissait toute son assiette... Tandis que le texte sur la page de gauche nous décrit ce petit ange, l'illustration de la page de droite nous montre une réalité bien différente : une petite fille qui met ses doigts dans le nez, terrorise son petit frère et casse les jouets des autres.

    Le décalage entre les deux pages est franchement à hurler de rire ! Un album  irrévérencieux pour tous, où les enfants comprendront que leurs parents n'étaient finalement pas des modèles... Quant aux adultes, cela leur rappelera bien des souvenirs !


    Maman était petite avant d'être grande
    Valérie Larrondo & Claudine Desmarteau
    Seuil Jeunesse
    9.95€


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