• Léon est un petit caca bien malheureux, qui malgré tous ses efforts n'arrive pas à se faire d'amis...

     

    Léon l'étron / Killoffer

     

    Ce petit livre cartonné ravira petits et grands qui n'ont pas peur de l'humour scatologique. L'auteur pose sur des dessins à hurler de rire un poème malicieux et plein d'esprit - car oui, on peut être élégant en parlant de caca. La fin nous prend par surprise, mais... Je ne vous en dis pas plus. Dans tous les cas, Léon est devenu mon grand héros tout bancal, maladroit et émouvant.

    Ce petit livre impertinent est publié dans la collection Tête de Lard (editions Thierry Magnier) qui accueille plusieurs autres textes décalés et drôles, à ne surtout pas mettre entre les mains d'esprits rigides !


    Léon l'étron
    Killoffer
    Edtions Thierry Magnier
    Collection Tête de Lard
    6,50€

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  • J'ai découvert cette illustratrice par le biais d'un album pour la jeunesse, Princesses du monde (éditions Auzou), et j'ai immédiatement été séduite par son style à la fois naïf et extrèmement sensuel.
    Peintre, illustratrice et graphiste, Misstigri est originaire de Nantes, et ses oeuvres rencontrent de plus en plus de succès ! Elle avoue des influences extrèmement eclectiques : Klimt, Mucha, Bilal, Loisel, Manara, Dautremer, Myiazaki...

    Je vous laisse savourer ses magnifiques illustrations...


     

     

       

     

     

     

    Vous trouverez ses autres oeuvres sur son blog, et quelques mignons goodies ici, ou encore ...

     

     


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  • Dans les royaumes orientaux de Tanjor, le Peuple Turquoise est réduit en esclavage depuis des millénaires. Mais il chérit une légende qui lui donnera un jour le courage, l’étincelle qui lui manquent pour se révolter : la légende d’Ayesha, la déesse qui commandera aux étoiles et rendra la liberté à ses enfants condamnés.

    Marikani, la reine déchue et pourchassée, est-elle l’incarnation d’Ayesha ? Est-elle celle qui doit allumer le feu de la révolte et devenir le guide de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, jetés sur les routes en quête d’un refuge, à travers le chaos et la guerre ?

    Ceci est l’histoire d’une femme indomptable, de ceux qui l’ont aimée et de ceux qui l’ont trahie. C’est l’histoire d’une révolution.

     

    Ayesha, la légende du Peuple Turquoise / Ange

     

    Mention spéciale pour ce texte de fantasy française, incroyablement bien maîtrisé, tant au niveau des personnages qu'à celui de l'intrigue.

    On entre brutalement dans le récit, par le biais d'Arekh, homme à la fois brutal et mystérieux, qui est sauvé de la noyade de justesse par Marikani Aya Arrethas, héritière du trône d'Harrabec. Geste qui marque profondément cet homme, qui aidera Marikani à récupérer son trône, et la suivra, entre amour et haine, entre complicité et incompréhension, dans sa quête de vérité absolue...

    Si à la base le récit semble être un énième classique de fantasy - dieux disparus, guerres, quête... - on remarque vite qu'il y a quelque chose en plus. Déjà, l'ambiance orientale, qui nous change agréablement d'une fantasy moyen-ageuse  (même si j'adore ce genre d'histoire aussi !) ; les us et coutume du palais d'Harrabec, lieu raffiné et sensuel ; la Cité des Pleurs et le Peuple des Exilés ; l'enfer du désert... Des lieux décrit avec tant de justesse que l'on a l'impression d'y être...

    Ensuite, les personnages. Nous n'avons pas ici affaire avec un jeune héros qui par le biais d'une quête va mûrir et devenir un grand guerrier/sorcier/roi (rayer les mentions inutiles). Arekh est un homme sombre et colérique, au passé mystérieux et violent. C'est un homme qui a du sang sur les mains, et qui n'hésite pas à utiliser des moyens vils pour arriver à ses fins. Marikani, de son côté est une jeune femme "de caractère", impulsive et passionnée. Ils ont tous deux une vision très différente de la vie, et leur attirance mutuelle est bien souvent mise de côté pour des accès de rage brutale l'un envers l'autre. Une relation toute en ambiguïté...

    Les personnages secondaires sont tout aussi bien fouillés, sans le classique manichéisme que l'on retrouve parfois dans ce genre d'histoire. Harrakin en est un parfait exemple. Ce cousin de Marikani, rompu aux intrigues de la cour, retors et calculateur, tente de la faire assassiner... Ce qui ne l'empêche d'être un homme qui pense avant tout au bien de son pays, homme raffiné, plein d'humour, et un stratège hors-pair dans les batailles... 

    En somme, un récit bien mené et original, qui traite avec brio  de l'horreur de la guerre, du poid des traditions et de la folie aveugle des intégrismes en tout genre. Aucun personnages n'est épargné par les auteurs ; malmené par la vie, ils luttent avec  rage pour survivre, mais quel est le chemin à suivre quand tout un peuple de proscrits compte sur vous ?  La chute du récit nous atteint de plein fouet en nous laissant abasourdis...

    Un livre qui redonne ses lettres de noblesse à la fantasy française et vous marquera sûrement !


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  • En cette période de vacances, un petit rappel historique sur cette belle idée que sont les congés payés, afin de ne pas oublier que des gens se sont battus pour ces droits.

    Sous la pression des grèves de 1936 qui paralysèrent la France (près de 2 millions de travailleurs en grêve, tout de même !) (je vous la faits courte, sinon on rentre dans toutes les tractations politiques et sordides, et c'est pas trop mon truc) des négociations furent menée avec le patronat, qui aboutirent entre autre aux fameux congés payés. De 2 semaines à l'origine, ils passèrent à 3 en 1956, à 4 en 1969 et enfin à 5 en 1982.

    Les congés payés ont eu des conséquences variées :

    - création d'un Ministère du Tourisme ;
    - réductions annuelles sur les chemins de fer ;
    - tourisme de masse.

    Tout ça pour vous dire que je pars pendant une semaine au soleil - mais je ne voudrais surtout pas vous dégoûter, mes petits bichons ^^ (allez-y, vous pouvez me haïr)



    vacances


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  • fraises



    Cette année, la marque Haribo fête les 40 ans de leur plus célèbre petit bonbon, j'ai nommé... la fraise Tagada ! Son nom aurait été trouvé par le directeur commercial de l'époque qui s'inspira d'un spectacle de music hall où il entendit une petite ritournelle "tagada tsoin tsoin"... Vraie ou fausse, cette histoire ne manque pas de charme.
    Grâce à sa recette tenue top secrète (pas fous, les fabricants...) la fraise se vend à pas moins de 1 millard par an - soit 30 par seconde. Ca donne le vertige, non ?

    En furetant sur la toile, j'ai déniché quelques recettes et produits dérivés qui à défaut de remplir vos estomacs vous émerveilleront les yeux ^^

    porte clef

    Le porte-clef Tagada...

    parfum

    Le parfum d'ambiance Tagada... Pour que toute la maison sente bon !

    bague

    La bague Tagada réalisée en pâte Fimo (trop réaliste, j'aurai tout le temps envie de me croquer le doigt !)


    t shirt tagada

    Le T-shirt tagada, pour que ce soit vous que l'on ait envie de manger ^^

    chaussettes
    Le meilleur pour la fin : les chaussettes... Parfumées à la fraise Tagada (Si, si, véridique !!!)





    Enfin, on peut trouver sur le net de nombreuses recettes à base de ces délicieux bonbons : mousse aux fraises Tagada, cake, macaron, glace, vodka... Il y en a pour tous les goûts !

    Et mon petit doigt me dit que maintenant vous avez envie de vous ruer sur le paquet de bonbon le plus proche :p

    Alors, merci qui ?


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